Classes moyennes et accès aux soins : le gouvernement frappe encore là où ça fait mal
Réduire le remboursement des médicaments, c’est sacrifier les Français qui travaillent et cotisent sans jamais recevoir de reconnaissance. Avec la baisse du taux de remboursement de 65% à 60%, le gouvernement frappe une fois de plus les classes moyennes, les grandes oubliées de sa politique.
Dans l’Ain, où les déserts médicaux se multiplient et où l’accès aux soins est de plus en plus difficile, cette décision aggrave une situation déjà alarmante. Alors que trouver un médecin traitant ou obtenir un rendez-vous rapide relève du parcours du combattant, alourdir encore les coûts de santé est une aberration qui pénalise les familles et les travailleurs de notre département.
Pourquoi toujours les classes moyennes ?
Plutôt que de cibler les Français honnêtes, des économies massives pourraient être réalisées en s’attaquant aux abus qui gangrènent le système :
- La fraude à la carte Vitale, évaluée à plusieurs centaines de millions d’euros par an, avec des cartes surnuméraires encore en circulation.
- L’Aide Médicale d’État (AME), qui coûte plus d’1 milliard d’euros par an, alors que nos compatriotes peinent à se soigner.
- Les gaspillages administratifs, qui représentent des pertes évitables pour la Sécurité sociale.
Reconquête défend les classes moyennes et l’accès aux soins
Cette décision injuste est une preuve supplémentaire que le gouvernement refuse de s’attaquer aux vrais problèmes. Avec Reconquête, nous proposons une politique de bon sens : lutter contre les fraudes et les abus, recentrer les dépenses publiques sur les Français, et investir dans la santé pour garantir un accès aux soins partout sur le territoire.